vendredi 5 octobre 2012

La Gynarchie comme excuse

Dans ma vie gynarchique, j'ai eu plusieurs mauvaises expériences.

J'ai en fait rencontré plusieurs Femmes qu'utilisaient la gynarchie comme excuse.

La plus fréquente l'argent.
Des Femmes qui nullement intéresses à leurs supériorité, ne visent que l'argent des hommes.
Cela me paraît absolument déplorable et surtout contraire à la Gynarchie.

Quoi dans le monde d'aujourd'hui donne plus de pouvoir que l'argent ?
et qui n'est plus faible dans notre société sinon une personne prive d'argent ?

Une Femme qui cherche de l'argent n'est pas à considérer supérieure, bien au contraire Elle est forcement dans le besoin, dans la nécessité et donc plus à faire de la peine.

La recherche de l'argent pour une Femme indique sa propre intérieure et donc ne peut pas vivre décemment dans une société Gynarchique.

Ce que souvent les  Femmes oublient c'est que doivent démontrer d'être supérieures, pas juste attendre d'être mise sur un piédestal par les hommes.

Le fait d'avoir succès dans la vie, et avec cela, gagner de l'argent et ne pas avoir besoin du soutient matériel d'un homme, cela la rend supérieure, vénérable, intéressante, gynarchique.

Deuxieme excuse la beauté

Avec malheur j'ai découvert que un nombre assez impressionnant de Femmes qui cachent leurs incapacité à attirer des hommes par la gynarchie.

Une armée de Femmes laides, qui n'étant pas approché par des hommes se réfugient  dans l'univers gynarchique.

L'horreur encore plus grand le fait que celles ci sont totalement incapables d'être séduisantes et encore plus la haine qu'Elles portent vis-a-vis des hommes.
Eh bien oui la haine, comme si c'était la faute des hommes qu'Elles leurs médiocrité.

Comme pour l'argent, la puissance, la supériorité dérive de ce qu'on réalise dans sa vie.
Une Femme qui se prodige a soigner son corps, son visage, qui étudie ses mouvement pour être plus attirante, qui soigne les moindres détails de son apparence pour rester dans les yeux et dans l'âme des hommes qu'Elle rencontre, est supérieure.

Une grosse laide qui ne pose aucune attention à ce qu'Elle mange, bois, aux dents jaunes par la cigarette, qui me parle avec suffisance sinon arrogance n'est pas supérieure et me fait personnellement bien de la peine.

La Gynarchie n'est pas une excuse
pour ne pas se soigner ou pour ne pas démontrer ses capacités dans la vie. La Gynarchie c'est l'état au quel on arrive comme trophée de son travail et de sons succès

3 commentaires:

  1. Bonjour Eric,
    Je viens de lire votre " post " . En tant que soumis, je suis cependant, parfaitement d' accord avec vous, par rapport à ce que vous exposez . Moi-même, ai beaucoup de mal, à rencontrer une Maîtresse, digne de ce nom . Pourtant, comme vous, je considère que les Femmes sont de véritables Déesses . Malheureusement, je ne puis réaliser le plaisir d' être aux pieds de l' une d' entre elles . Justement, par rapport aux " problèmes " que vous exposez si bien .
    Merci de votre blog . Cela rassure, quelque part, de ne pas être le seul soumis, qui ne trouve pas une VRAIE Maîtresse . ( excusez cet humour, peut-être, un peu ... Aigri )

    Chrisslave .

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  2. Pour ma part, je considère qu'aucune femme ne peut incarner l'archétype de la déesse.Cela n'est qu'un fantasme masculin, une illusion.Comme c'est cruel de lire le témoignage de ces hommes à la recherche de leurs déesses toutes puissantes sans aucune faiblesse, seulement nées pour assouvir leur sexualité masochiste.

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  3. Et bien, je suis content de constater que je ne suis pas le seul soumis à penser ainsi.
    Beaucoup de femmes s'imaginent qu'il suffit de s’autoproclamer "Déesse", "Maîtresse", "Reine" ou que sais-je encore pour que les soumis leurs doivent "tout" par défaut, ça me fait bien rire.
    Pour moi, une incapable qui n'est même pas foutue de se gérer et à besoin des hommes pour cela ne mérite rien de ma part, elle ne mérite que des soumis à sa hauteur (ou plutôt bassesse).
    Et ce seront les premières à se plaindre de ne pas trouver de "vrais soumis", forcement la médiocrité attire la médiocrité.

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